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Pierre CHADRU (Chad) explique la MC2

Pierre ChadruL’artiste plasticien Pierre CHADRU (Chad) est l’auteur d’un livre intitulé Je = MC2, maîtrisez le principe de création de votre esprit. Dans cet ouvrage, il présente le fruit de réflexions et de travaux de recherche qu’il a choisi de mener afin de comprendre l’origine du processus de création. Il y présente aussi une méthode inédite en Développement Personnel : la Méditation Consciente et Créative ou encore la MC2. Au cours d’un entretien, Chad explique sa démarche et définit la MC2.

 

LES CONSTATS

« La Méditation Consciente et Créative (MC2) est l’application de la synthèse de travaux de recherche en psychosociologie sur plus d’une vingtaine d’années. Elle s’inscrit dans le monde du Développement Personnel. Plusieurs choses m’ont amené à poursuivre ces recherches. Parmi les constats, il y a la redondance d’un certain nombre de problématiques sociales ou sociologiques, voire en réalité psychosociologiques. De multiples analyses, réactions et travaux montrent bien qu’il y a un enjeu à questionner ces problématiques que je considère être des dysfonctionnements psychosociologiques de la société et des individus.

À titre personnel, plusieurs choses m’ont conduit à cette approche : le sentiment d’embrigadement, de conditionnement, de manipulation qu’on ne s’avoue pas facilement. Mais, à force de répétition, on finit par l’identifier comme des freins à notre évolution personnelle et on essaie de les analyser, pour essayer de les dépasser. D’autres problématiques, plus personnelles, liées à un rapport obscur et traumatique à la paternité, voire à la parentalité, base de la construction d’une identité personnelle, ont aussi été décisives dans ces recherches. Celles-ci étant liées aux pressions sociales, culturelles, idéologiques, voire dogmatiques, d’une société qui laisse une place infime à l’authenticité de la pensée. J’ai donc analysé les dispositifs de conditionnements sociaux, religieux et conceptuels des individus. Aussi, étant un artiste créateur, il était intéressant de questionner les arcanes d’une activité intense et permanente de création artistique. Ne me considérant être ni un ouvrier, ni un automate de la création, je pressentais qu’il y avait quelque chose qui va au-delà des logiques connues qui était en jeu, et qui actionnait, en amont le processus de création. C’est ainsi que j’ai commencé à chercher à comprendre ce processus. Par ailleurs, j’ai aussi pris en compte ma longue expérience de thérapeute en institut médical public dans le domaine de la pédopsychiatrie et de la psychiatrie adulte. J’avais une posture particulière qui était parfois décriée, critiquée, à côté du conventionnel, en rupture avec la posture d’un personnel de santé censé appliquer un protocole de soin sans se poser de question, hanté par les principes appris en école de formation, et qui découlait des courants de pensée connus, dominés par le freudisme.

Toutes ces problématiques m’ont poussé à me questionner sur la souffrance humaine. Est-elle fatale ? Pourquoi il y a-t-il des degrés et des intensités aussi énormes dans la souffrance humaine ? Qu’en est-il vraiment des méthodes de prise en charge ? Quel est leur degré d’efficacité ? Si la réponse médicale n’est pas la plus efficace, peut-il y avoir une autre réponse, hors du champ de la science conventionnelle ? L’autre réponse que l’on connaît est le dans le champ du Développement Personnel qui généralement puise ses outils et ses instruments des théories psychothérapeutiques ou psychanalytiques. Le Développement Personnel propose un certain nombre de méthodes, de techniques, qui relèvent d’une autre sphère qui est le champ énergétique, et il se propose généralement d’agir en amont des problématiques de soin, de prise en charge thérapeutique, ou de processus de guérison. Parfois, il y a des passerelles entre ces deux approches. Mais on se rend vite compte que le monde de la science médicale tel qu’il est conçu aujourd’hui est un monde cartésien où l’efficacité de la prise en charge psychiatrique n’est pas forcément manifeste, et on a très vite l’impression qu’on navigue à l’aveugle, qu’on est encore au stade des apprentis sorciers. À côté de ça, on se rend compte qu’il y a des gens qui ne sont pas forcément des scientifiques, mais qui arrivent à proposer un certain nombre de protocoles qui peuvent permettre d’obtenir des résultats très prometteurs.

C’est fort de ces constats, et au vu de mon expérience en tant que personnel soignant en établissement public de santé que je me suis inscrit, dans le cadre de ces recherches, en réaction à ce système de prise en charge thérapeutique, et que j’ai décidé de ne plus exercer dans ce cadre, pour plusieurs raisons, notamment les limites de l’efficacité et le manque d’ouverture d’esprit dans ce domaine. J’ai donc décidé de m’inscrire dans le monde du Développement Personnel, d’agir en amont du basculement dans la spirale pathologique.

 

LE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL EN QUESTION

Mais en étudiant l’Histoire du Développement Personnel, les différents auteurs, les différents courants, j’ai constaté que, malgré tout, les problèmes ne sont pas réglés. Dans le premier versant du Développement Personnel : le versant préventif et « accompagnatif », on constate que les gens sont toujours mal, du moins ils peuvent avoir des moments de soulagement, mais qui ne persistent pas toujours sur la durée. Donc, je me suis interrogé sur la pertinence des hypothèses et sur le degré d’approfondissement des recherches, en corrélation avec le degré de crédibilité et d’efficacité de cette approche auprès du grand public. J’ai donc reposé les questions de base : pourquoi les gens souffrent-ils et comment peut-on agir efficacement pour qu’ils ne souffrent plus ? L’autre versant du développement personnel est la démarche « motivationnelle ». Il s’agit de comprendre comment les gens peuvent se réaliser. J’ai donc décidé de partir d’un nouveau postulat. Je considère qu’on ne peut plus continuer à poser les mêmes explications alors qu’elles ne permettent pas de résoudre le problème de la non-réalisation de soi, qui peut déclencher et alimenter des dépressions, des insatisfactions, voire des problèmes existentiels très profonds comme des névroses ou des psychoses. Mon postulat a été de considérer qu’il y a quelque chose au-delà du cadre de causalité classique (le vécu, le cadre familial, les conventions sociales) qui peut permettre de mieux comprendre ces mécanismes et les prévenir.

Dans le cadre de la prise en charge psychothérapeutique, sur dix personnes à qui on propose un même protocole de soin pour une même pathologie, on peut enregistrer dix réactions, effets ou résultats différents. Cela signifie que ce n’est pas le protocole de soin ni le diagnostic qui font la différence. D’autre part, l’impact des conditionnements sur les individus, les sociétés, les peuples diffère totalement. Certains résistent et d’autres ne résistent pas. Dans une société, les réactions face aux stratégies de conditionnement mis en place varient. Donc, là encore, ce n’est pas le conditionnement directement qui explique que les gens réagissent de telle ou telle façon. Il y a autre chose qui fait que les gens dans un même contexte réagissent différemment. Enfin, dans le processus de création artistique, il y a aussi deux aspects distincts. D’une part, on peut se demander comment on fait pour devenir un artiste. J’ai analysé le parcours de nombreux artistes tels que PICASSO, Ousmane SOW, Sam FRANCIS, Frida KAHLO et Jean-Michel BASQUIAT. L’activité de créateur peut se déclencher de plusieurs manières. L’origine de la vocation qui va amener quelqu’un à devenir artiste ne peut être déterminée de façon uniforme. D’autre part, on peut s’interroger sur la source du processus de création de chaque artiste, puisque les mécanismes et les réalisations divergent. D’où vient l’inspiration et qu’est-ce qui fait que l’artiste produit telle œuvre et pas une autre ? On se rend compte que d’un artiste à l’autre, les réponses sont totalement différentes. Ce sont des logiques qui sont personnelles, ou qui viennent d’autre chose.

 

LE FONDEMENT ÉNERGÉTIQUE DE LA CRÉATIONPierre Chadru (Chad), Je = MC2

En considérant tous ces éléments, l’hypothèse devenait de plus en plus évidente qu’il y a bien quelque chose en amont. Mais de quoi s’agit-il ? Ce quelque chose est forcément immatériel. Il me paraissait ne pouvoir relever que du domaine énergétique. J’ai donc commencé à questionner l’identité énergétique de l’être humain, à identifier les différentes sources d’énergie qui animent l’être humain et à questionner leur fonction et leur impact sur l’existence humaine. Mais la question centrale était en quoi, comment et à quel degré ces différentes sources d’énergie pourraient-elles être à l’origine du processus de création ? C’est ainsi que je me suis intéressé de plus près aux neurosciences, qui travaillent beaucoup sur le rôle du cerveau et du système nerveux sur le fonctionnement de l’être humain, notamment dans le cadre des pathologies lourdes. Mais en constatant que de façon générale, ces travaux s’ajustent eux aussi sur ces fameux liens de causalité sociaux, familiaux, culturels, liés aux vécus traumatiques et aux conditionnements sociaux, voire à des formes d’hérédité, j’ai compris que la réponse n’était pas là.

J’ai donc continué à questionner l’identité énergétique de l’être humain, et à identifier ses différentes sources. À la base, nous savons tous aujourd’hui que l’être humain est doté d’une énergie physique, qui croît ou décroît en fonction de l’âge, de l’état de santé, de la motivation, de l’humeur ou de l’entraînement musculaire. De nos jours, on sait que la pensée est une énergie (intellectuelle) et qu’elle conditionne, d’une certaine manière, ce que nous vivons et la manière dont nous le vivons. L’être humain est aussi doté d’une énergie physiologique. Nous fonctionnons selon une logique métabolique : tout en nous est en perpétuel mouvement et en perpétuelle transformation, à travers plusieurs systèmes : cardiaque (circulatoire), nerveux, lymphatique, digestif, etc. L’être humain est aussi doté d’une énergie psychologique (ou mentale). Il ne s’agit pas ici des états mentaux (ou psychologiques) que la psychanalyse s’est évertuée à interroger dans le seul but d’expliquer des pathologies et des dysfonctionnements sociaux et individuels comme étant la conséquence d’un long parcours lié à des souffrances inextricables dont les sources seraient d’ordre social, familial ou existentiel (lié au vécu personnel et intime). Il s’agit au contraire de l’énergie qui alimente ces états, qui en est la source. L’être humain est aussi doté d’une énergie émotionnelle. Et nous savons aujourd’hui à quel point cette énergie peut impacter notre vie de tous les jours, tant que nous nous considérons en être les victimes et non la source. L’être humain est aussi doté d’une énergie sensitive. Elle est connectée à nos perceptions sensorielles. Elle n’est pas tant ce que nous percevons, ni la manière dont nous le percevons. Elle est en réalité à l’origine du ressenti que produit sur nous ce que nous percevons (mal-être ou bien-être) avec nos différents sens, ressenti que nous croyons être déterminés par notre vécu. Enfin, nous avons des croyances, que nous identifions, sur le plan spirituel, comme ce qui nous relie à une certaine perception de l’au-delà, à ce quelque chose « qui est plus grand que nous et qui nous gouverne », et sur lequel nous n’avons aucun moyen d’action. Pourtant, nous sommes capables de nous projeter dans une dimension transcendantale, imaginaire, créative, de nous transformer et de transformer notre environnement, en ayant bien conscience que nous y sommes quand même un peu pour quelque chose. Nous avons donc bien conscience d’avoir un certain pouvoir d’impacter notre réalité et notre existence à notre convenance (ou pas). Et bien cela, nous pouvons le faire grâce à une énergie que j’appelle l’énergie sublimatoire. C’est cette énergie qui est à l’origine du sentiment.

 

L’ESPRIT HUMAIN, SOURCE DE TOUTE CRÉATION

J’ai donc déterminé au total sept sources d’énergie, et j’ai compris qu’il devait forcément y avoir quelque chose en nous qui lesPierre Chadru met en mouvement, les fait vibrer, les coordonne, les fait agir d’une manière ou d’une autre dans notre existence, et qui en définitive les produit… comme une centrale énergétique. Depuis la nuit des temps, nous attribuons notre faculté de penser, de ressentir, d’analyser, de concevoir les différentes dimensions de la réalité, et même de l’au-delà, du monde métaphysique, à notre « esprit ». Nous lui conférons la faculté de percevoir des dimensions invisibles de l’existence, d’être le berceau de la science, de l’imaginaire, des inventions et des découvertes, de la création artistique et de notre capacité de transcendance. Donc en définitive, cette centrale énergétique c’est notre esprit, que je définis comme notre « système sublimatoire », qui coordonne toutes les autres sources d’énergie, et qui n’a qu’une fonction : créer !

C’est de cette « centrale » que provient tout ce que nous vivons, faisons, possédons, devenons. Elle agit en amont du cadre de causalité dont parlent les thérapeutes et psychosociologues. Ainsi, notre cadre de pensée (notre conception du monde visible et invisible), nos états physiques, physiologiques, mentaux, émotionnels, sensitifs, nos sentiments (produits par notre énergie sublimatoire) ne proviennent pas directement de notre vécu, de nos souffrances ou de nos joies, du poids de la société, de notre éducation, de nos savoirs et connaissances, mais bien de ces sept sources d’énergie, qui proviennent de la centrale énergétique qu’est notre esprit, lui-même alimenté par l’énergie cosmique ! Cette centrale énergétique (notre esprit) produit les sept sources d’énergie, les met en interconnexion afin d’activer le processus de création, grâce auquel nous vivons tout ce que nous vivons tous les jours. C’est la clé de voûte (le portail) qui va permettre aux différentes énergies, de se transformer en énergie sublimatoire, celle-ci, se transformant à son tour en matière, grâce à l’énergie cosmique (source de toute matérialité, de toute vie, de toute existence) qui ne peut agir que sous l’impulsion de notre énergie sublimatoire. En définitive, c’est nous qui activons l’énergie cosmique afin qu’elle matérialise tout ce que nous créons par notre esprit. Notre esprit (notre système sublimatoire) est donc la vraie matrice de toute création. Il est à l’origine tout ce que nous vivons : de notre bien-être et de notre mal-être, de nos succès et de nos échecs, de notre pauvreté et de notre abondance, de nos souffrances et de notre bonheur…

LA MC2 ET LE MIRAGE DU CONDITIONNEMENT

La bonne nouvelle c’est que notre système sublimatoire agit indépendamment de tout ! Notre pouvoir de création est infini, inaliénable, inaltérable, inviolable, incessible !!! Mais depuis la nuit des temps, les esprits mal intentionnés, dont le seul objectif est de manipuler les peuples pour les asservir et qu’ils servent des intérêts égoïstes, n’ont jamais cessé de chercher toutes les stratégies possibles pour arriver à leurs fins. Ces esprits malins sont à l’origine de toutes les stratégies d’asservissement, de conditionnement, de manipulation, en créant en permanence de fausses informations qui masquent les vérités, tout en créant des stratégies d’intimidation et de peur, d’obéissance et de contraintes de toutes sortes. La finalité est que, aujourd’hui, les populations, en grande majorité, pensent et croient n’avoir aucun pouvoir sur leur existence et se tournent alors vers ceux (les mêmes) qui se présentent comme leurs « sauveurs ». Ces stratégies passent alors par la religion, l’éducation, la science (quand elle sert leur cause funeste), les médias, en créant l’ignorance, les fausses croyances, dont le concept de Dieu est de loin le plus puissant ! Ainsi, la faculté de création de l’être humain est détournée. Les gens ne savent plus qu’ils ont ce pouvoir de création, car en fait ce sont eux-mêmes qui délèguent (à leur insu) à d’autres le droit d’utiliser leur pouvoir de création. Le postulat de base de la religion, par exemple, c’est de tout faire pour faire croire aux gens qu’ils n’ont aucun pouvoir. Qu’il y a un être suprême qui s’appelle Dieu, et que c’est lui qui détient tous les pouvoirs. Le fait de commencer à croire que nous n’avons aucun pouvoir est le début de toutes les formes de souffrance.

 

MC2 ET DÉVELOPPEMENT PERSONNEL

L’application de cette recherche c’est l’apprentissage de la maîtrise du processus de création, par la pratique de la MC2 (Méditation Consciente et Créative). Quand on crée, on active notre processus de création. Nous le faisons tous les jours. Sur le plan affectif, professionnel, familial, tout ce que l’on vit est créé par le système sublimatoire. Tous les événements de nos vies sont la matérialisation du processus de création. La MC2 consiste à permettre à chacun de prendre conscience de son pouvoir de création (qu’il n’a en réalité jamais perdu !), de réapprendre à maîtriser le processus de création de son esprit et de l’appliquer dans sa vie au quotidien. La méditation c’est le mode de fonctionnement du système sublimatoire, c’est-à-dire de l’esprit humain. La méditation consiste à transformer un cadre de pensée en sentiment c’est-à-dire en énergie sublimatoire (en passant par toutes les autres sources d’énergie), de projeter cette énergie sublimatoire (le sentiment) dans l’univers, afin que l’énergie cosmique le matérialise et le renvoie à son créateur. La spiritualité n’est donc en réalité rien d’autre que l’utilisation de notre faculté de création. La MC2 est un outil de libération, d’affranchissement total, au niveau individuel, et aussi au niveau collectif.

La pratique de la MC2 consiste à déconstruire les mécanismes de la souffrance (attachement, asservissement et ressentiment), de comprendre et d’appliquer le processus de création pour entrer dans la dimension inverse : celle du bien-être et de toutes les choses « positives » de l’existence. Il s’agit d’apprendre à créer un cadre de pensée, de le projeter de façon consciente dans le champ psychologique, physiologique, émotionnel, sensitif et sublimatoire afin qu’il se matérialise grâce à l’énergie cosmique. Par exemple, lorsqu’on prend un café le matin, c’est parce qu’on a en amont établi un cadre de pensée selon lequel on considère que l’on peut prendre du café le matin, pour tout un ensemble de raisons et de postulats. Donc, c’est la matérialisation d’un cadre de pensée. Nous créons tous les jours, à chaque seconde. Il n’est pas nécessaire de se dire : « Je vais méditer ». Nous méditons en permanence, mais le plus souvent de façon non consciente, et c’est pour cela qu’il nous « arrive » des malheurs que nous avons du mal à nous expliquer. La MC2 consiste donc à apprendre à créer de façon consciente, afin de ne pas être surpris de ce qui nous « arrive ». La pratique de la MC2 se fait à partir de sept thèmes principaux : Abondance, Détachement, Gratitude, Intégrité, Protection, Sagesse, Vérité. Ce sont les sept piliers qui permettent de se réaliser pleinement sur les plans matériel et immatériel. »

 

Contact de Pierre Chadru (Chad)

Tel : +590 690 56 89 90

E-mail : chadcontact@orange.fr

Syanséka

Originaire de Guadeloupe, j’aime observer le réel et partager le fruit des lectures qu’il se plaît à m’offrir.

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